Une sonde échographique sert notamment au suivi gynécologique d’une femme. C’est aussi un outil utilisé pour le suivi des femmes enceintes. PRS France utilise volontairement le terme « notamment » afin de ne surtout pas utiliser « essentiellement« . Pourquoi ? Parce qu’une sonde échographique ne sert pas essentiellement qu’à cela ! Bien au contraire.
Idée reçue
Croire qu’une sonde sonde échographique ne sert qu’en gynécologie est un peu réducteur. En fait, une sonde est l’appareil le plus approprié pour bon nombre de situations. L’étude des kystes, les polypes ou d’un syndrome de l’intestin irritable sont de bons exemples.
L’étude des tissus mous
D’une manière plus générale, une échographie est recommandée lorsqu’il faut étudier des tissus mous. Le corps humain en recèle beaucoup. Une sonde échographique permet d’observer les glandes (thyroïde, parathyroïde, salivaires…), mais aussi les tendons. Idem pour les muscles et les organes comme le foie, le pancréas, la rate, les reins ou la vessie. Une sonde échographique transœsophagienne sert même à étudier le coeur. Elle peut aussi servir à vérifier l’état des vaisseaux sanguins superficiels comme profonds.
Organes sexuels
Bien entendu une sonde sert, comme nous l’avons évoqué, à contrôler que tout va bien chez les femmes sur le plan gynécologique (ovaires et utérus). Mais c’est aussi le cas chez les hommes. En effet un examen des testicules se fait via une échographie.
Hommes, femmes…
Et il n’y a pas que chez l’être humain que les sondes échographiques sont employées. Au-delà des gynécologues et des autres professionnels de santé qui sont amenés à utiliser des échographes, il y a une autre profession qui y ont recours. Nous voulons parler bien entendu des vétérinaires. Qu’ils soient de ville ou de campagne : chiens, chats… Mais aussi vaches, chevaux : eux aussi peuvent avoir besoin de se faire examiner par une sonde échographique.
En clair une sonde échographique a bien plus d’utilités qu’on ne pourrait le croire : CQFD !