Aujourd’hui PRS France souhaite mettre en lumière ce que vos patientes doivent savoir avant une échographie 3D. Numéro 1 en France de la réparation de sonde échographique 3D, nous avons l’habitude de parler de l’actualité de l’imagerie médicale française et internationale. Mais cette fois nous préférons nous attarder sur quelques bons conseils. Voici notre check-list des quatre infos à savoir !
Que du bonus… mais pas plus !
Une sonde échographique 3D offre un vrai plus pour les parents. Mais attention, ce n’est que du bonus en plus des échographies classiques en 2D. Des échographies qui sont obligatoires !
Rien d’obligatoire
D’ailleurs si les échographies au premier, deuxième et troisième trimestre sont obligatoires, il n’en est rien de l’échographie 3D. Certains professionnels de santé sont équipés de sonde échographique 3D. Ils peuvent vous proposer cet examen, mais celui-ci n’est pas pris en charge par la sécurité sociale.
L’intérêt médical
En fait, si cet acte n’est pas remboursé, c’est parce qu’il offre un intérêt médical tout à fait relatif. A ce sujet, la HAS -Haute Autorité de Santé- préfère appliquer le principe de précaution en alertant les futurs parents contre ces échographies de confort. En effet on ne sait encore rien des éventuelles conséquences, pour le foetus, concernant des expositions longues et à répétitions d’ultrasons.
Toutefois l’échographie 3D peut se révéler utile afin de corroborer un diagnostic concernant une malformation.
Attendre le bon moment
Il faut aussi savoir bien viser. Le moment idéal est entre la 25e et la 35e semaine de grossesse. La vision d’un foetus de moins de 25 semaines peut être déroutante pour les futurs parents. Celui-ci ne ressemble pas encore à un chérubin potelé. En revanche, c’est souvent tout l’inverse passé la 35e semaine. Le foetus est cette fois trop imposant et il n’y a pas assez de recul pour que la sonde échographique 3D puisse le visualiser en entier.