Le coeur de vos patients a de nombreux ennemis. Le froid et le bruit sont d’ailleurs deux exemples que nous avons déjà traités dans notre blog. En tant que numéro un français de la réparation de sonde ETO, la cardiologie est un sujet qui nous passionne. Mais aujourd’hui, à l’inverse des articles précédents, nous décidons de mettre en lumière un allié du coeur de vos patients : le sommeil !
Risques et rappel
Il y a un lien évident entre un bon sommeil et la santé cardio-vasculaire. Par exemple, un manque de sommeil entraîne un risque accru de surpoids voire d’obésité. Et ce n’est pas tout ! Du sommeil en moins, c’est aussi courir le risque de développer de l’hypertension ou une forme de diabète. Pour rappel, le corps médical considère qu’une nuit de sommeil normale est de 7 à 8 heures.
Un bon sommeil
Mais la durée du sommeil ne fait pas tout ! Un bon sommeil est aussi primordial. En clair, il faut aussi faire attention à la qualité du temps passé à dormir. Car en effet, il y a des habitudes nocives qui perturbent le déroulement des nuits de vos patients. Des habitudes qu’il faut proscrire s’ils ont le sommeil léger. Des exemples ? Le tabac, le café, les sodas, l’alcool sont tous des excitants qu’il vaut mieux éviter après 16 heures. D’autres existent comme le sport en fin de journée ou travailler tard le soir. L’un réveil le corps et l’autre le cerveau alors que c’est le moment d’un temps calme pour votre organisme.
Conseils
Au-delà de ces quelques premiers conseils, il faut surtout comprendre que notre corps est une machine très bien huilée… mais qui malheureusement peut souffrir du moindre grain de sable. Il faut donc en prendre soin. Pour cela, adoptez un rythme de lever et de coucher régulier, même le week-end. La sieste en début d’après-midi, 20 minutes grand maximum, est aussi un rituel à mettre en place. Et surtout ne pas résister à l’endormissement. Une fois le train du sommeil passé, difficile de le rattraper.
Et si vos patients pensent que plus dormir le week-end peut les aider à récupérer : c’est faux ! Ce n’est pas notre laboratoire spécialisé en réparation de sonde ETO qui le dit, mais Arnaud Rabat, chef de projet à l’Institut de recherche biomédicale des armées.