
Détection tardive
« Le but est de détecter le plus tôt possible les cancers du poumon qui sont silencieux » explique le professeur Charles Hugo-Marquette. Il ajoute que traitée tôt, on peut guérir cette maladie, alors que traitée tard, c’est beaucoup plus difficile
. Voilà pour l’intention… Comme il le souligne lui même, le scanner est une source « considérable » de faux positifs. Forcément cela inquiète pour rien les patients.
L’objectif est de détecter via cette prise de sang des cellules tumorales que la tumeur cancéreuse aurait libéré dans le flux sanguin. Pour l’instant l’étude est en phase de test et il faut encore 500 patients volontaires pour la finaliser : affaire à suivre !